Le président du PSG, a été entendu en mai dans l’affaire des barbouzeries du PSG. Il a déposé un complément de plainte contre X pour plusieurs chefs d’accusation.
Les chefs d’accusation de Nasser Al-Khelaïfi
Nasser Al-Khelaïfi accuse de tentative de chantage, vol, recel de ce délit, escroquerie, faux et usage de faux en écriture privée, ainsi que dénonciation calomnieuse. Cette plainte vise particulièrement Tayeb Benabderrahmane, présenté comme un « lobbyiste » impliqué dans l’affaire.
Le contexte et les accusations de Nasser Al-Khelaïfi
La défense de du président du PSG souligne que les sociétés de Tayeb Benabderrahmane ont eu une durée de vie inférieure à deux ans, certaines radiées du registre de commerce. Ils ajoutent que Benabderrahmane a commis des comportements répréhensibles avec Malik Nait-Liman et Hicham Karmoussi.
Les menaces alléguées
La plainte de 43 pages détaille une série de menaces contre le président du PSG, proférées par Tayeb Benabderrahmane et son épouse, Mahdjouba Benabderrahmane, avocate. Ils auraient tenté d’obtenir des décisions favorables en utilisant le mensonge, la menace et la calomnie pour faire pression sur Al-Khelaïfi afin qu’il leur remette des fonds.
Tentative de chantage et découverte de biens volés
La plainte souligne une tentative de chantage où Benabderrahmane et Karmoussi auraient menacé de diffuser des vidéos intimes de Nasser Al-Khelaïfi en échange d’argent. Lors d’une perquisition chez Benabderrahmane, les policiers ont découvert plusieurs montres de luxe, dont certaines appartenant à Al-Khelaïfi.
Accusations de vol et d’escroquerie
L’avocat de Nasser Al-Khelaïfi, Me Renaud Semerdjian, affirme que Benabderrahmane a volé divers objets appartenant à Al-Khelaïfi. Y compris une montre Rolex et une carte bancaire ‘Centurion’ de la banque American Express. Hicham Karmoussi aurait utilisé sa proximité avec Al-Khelaïfi pour commettre ces actes.
Faux documents et dénonciation calomnieuse
La plainte accuse également Benabderrahmane et ses associés d’avoir fabriqué des documents altérés et de dénonciation calomnieuse, notamment concernant des allégations d’extorsion à la signature.
Conclusion
Cette nouvelle plainte décrit des actes visant à le compromettre et à obtenir des avantages financiers par des menaces et des faux documents. La justice française continue d’examiner ces graves accusations.